Des meurtres aussi involontaires que les chats sont des oiseaux

Un bombardement de ce que l’on appelle la « coalition contre l’État Islamique » (composé entre autres des armées américaine, européennes, et saoudienne) sur la frontière entre le Pakistan et l’Afghanistan, a causé la mort de deux otages d’Al-Qaïda. Les gouvernements occidentaux ont déplorer une « erreur » sur les cibles.

Mais les prisonniers de groupes terroristes sont par définition non-armés. Dès lors, comment auraient-ils pu avoir l’air d’être en train de commettre des attentats au moment où les caméras des drones les filmaient?

Les commanditaires ne pouvaient pas ignorer que ces opérations allaient causé la mort d’innocents. Et le véritable but de ces interventions militaires n’étaient en rien de lutter contre le terrorisme, mais de protéger les intérêts de grands industriels qui ne tenaient pas à perdre de leur propriété sur les ressources minières et pétrolières présentes au Moyen-Orient.

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